L’arrivée des Chefs d’Etat et de Gouvernement au sommet du COP 15 à Copenhague a été reçue avec un « optimisme modéré » par Gilles Pargneaux, député socialiste et membre de la Délégation Officielle du Parlement Européen.
« Je crois qu’un accord contraignant est toujours possible, mais je pense également que les antagonismes qui persistent aujourd’hui ont du mal à être dépassés », a constaté Gilles Pargneaux. « En fait, les pays développés ne donnent pas les contributions qu’ils devraient octroyer aux pays pauvres tandis que ceux-ci ne s’engagent pas assez sur les objectifs de réduction à court terme ».
D’après le député Français, la clé continue à être comment faire pour aboutir à un accord. « Peut être nous faudra-t-il trouver un accord politique ici à Copenhague et nous engager dans un avenir immédiat pour sortir du COP 16 à Mexico 2010 avec un vrai accord contraignant, chiffré et même contenant de sanctions », a conclu Gilles Pargneaux.
« Je crois qu’un accord contraignant est toujours possible, mais je pense également que les antagonismes qui persistent aujourd’hui ont du mal à être dépassés », a constaté Gilles Pargneaux. « En fait, les pays développés ne donnent pas les contributions qu’ils devraient octroyer aux pays pauvres tandis que ceux-ci ne s’engagent pas assez sur les objectifs de réduction à court terme ».
D’après le député Français, la clé continue à être comment faire pour aboutir à un accord. « Peut être nous faudra-t-il trouver un accord politique ici à Copenhague et nous engager dans un avenir immédiat pour sortir du COP 16 à Mexico 2010 avec un vrai accord contraignant, chiffré et même contenant de sanctions », a conclu Gilles Pargneaux.
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