DAILY NEWSBriefing du Commissaire Dimas
10/12/08. Poznan. Le Commissaire Stravost Dimas s'est exprimé ce matin devant de la Délégation du PE - il avait cependant la tête à Bruxelles. En effet, tout le paquet législatif sur le changement climatique doit passer au Conseil tandis que les europarlamentaires attendent un geste de la part des chefs de gouvernement qui puisse donner une suite positive aux derniers trilogues de samedi matin.
Sans entrer pas trop dans les détails et sans donner des indications claires sur les objectifs (targets), Dimas s’est montré convaincu que le paquet sera approuvé avant la fin fin de l’année. « Le plus positif de tout le travail de ces jours c’est que personne ne remet en question les objectifs du 20-20-20, donc, même s’il faut encore faire un effort pour les détails, je suis sûr que nous allons réussir ».
Stravos Dimas a insisté sur la nécessité d’avancer dans les questions du financement. « Nous avons besoin de l’argent qui puisse nous garantir d'être à l’hauteur de nos compromis au niveau international ».
Mais les eurodéputés s’inquiètent fort sur les dernières rumeurs concernant les intentions supposées de certains membres du Conseil d'arriver un accord qui laisserait, pour les entreprises, entre 80 et 85 pour cent de droits d’émission libres de tout paiement ou mise aux enchères.
En ce qui concerne l’aide aux pays en développement, le Commissaire a été très clair : « Investir dans les projets destinés aux pays en voie de développement ne peut que bénéficier l’UE ». En ce domaine, Stavros Dimas considère qu’il y a, ici à Poznan, une bonne prédisposition de la part de tous les gouvernements qu’il a entendu lors des différents Groupes de Travail organisés par l’ONU cette semaine. « C’est comme si on entendait partout yes, we can on climate change », a conclu le commissaire. I.P.
Sans entrer pas trop dans les détails et sans donner des indications claires sur les objectifs (targets), Dimas s’est montré convaincu que le paquet sera approuvé avant la fin fin de l’année. « Le plus positif de tout le travail de ces jours c’est que personne ne remet en question les objectifs du 20-20-20, donc, même s’il faut encore faire un effort pour les détails, je suis sûr que nous allons réussir ».
Stravos Dimas a insisté sur la nécessité d’avancer dans les questions du financement. « Nous avons besoin de l’argent qui puisse nous garantir d'être à l’hauteur de nos compromis au niveau international ».
Mais les eurodéputés s’inquiètent fort sur les dernières rumeurs concernant les intentions supposées de certains membres du Conseil d'arriver un accord qui laisserait, pour les entreprises, entre 80 et 85 pour cent de droits d’émission libres de tout paiement ou mise aux enchères.
En ce qui concerne l’aide aux pays en développement, le Commissaire a été très clair : « Investir dans les projets destinés aux pays en voie de développement ne peut que bénéficier l’UE ». En ce domaine, Stavros Dimas considère qu’il y a, ici à Poznan, une bonne prédisposition de la part de tous les gouvernements qu’il a entendu lors des différents Groupes de Travail organisés par l’ONU cette semaine. « C’est comme si on entendait partout yes, we can on climate change », a conclu le commissaire. I.P.
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